Journée internationale de la bonne action : une marche pour améliorer l’employabilité
La journée internationale de la bonne action (Good Deeds Day) a été célébrée le 16 avril par une marche dénommée : « la marche de la bonne action ». Organisée à Cotonou, par l’ONG CIRProDeC avec l’appui de l’Agence nationale pour l’Emploi (AnpE), cette marche a fait un focus sur l’insertion professionnelle des jeunes.
Sensibiliser les ONG et entreprises sur l’importance d’agir pour améliorer l’employabilité des jeunes à travers des programmes d’insertion professionnelle et de volontariat. Tel est l’objectif assigné à la marche de la bonne action encadrée par 4 volontaires.
Partie de la direction générale de l’AnpE, la foule d’une cinquantaine de marcheuses et marcheurs, conduite par Colombe Doyigbe, représentant le Directeur Général, de l’AnpE, a pris par le tronçon de l’école centre d’accueil pour rallier la banque BIBE. Les marcheuses et marcheurs ont pris derrière cette banque pour se retrouver aux ronds-points Sainte Cécile et Gbèdjromédé avant d’échouer à l’Antenne AnpE du Littoral. Ils auront parcouru en une heure sept (7) km.
A l’occasion, Colombe DOYIGBE a présenté les deux programmes que l’AnpE développe pour le moment dans le domaine du volontariat. Il s’agit du programme Talents Africains à l’International (TAI) qui est orienté vers le volontariat en entreprise pour révéler la dimension économique du volontariat.
Grâce à un accord de partenariat avec France Volontaires, l’AnpE exécute également le programme de volontariat international de réciprocité. Ce partenariat permet l’envoi de jeunes volontaires en mission de Service Civique dans des structures d’accueil françaises, sous l’égide de l’Agence Française du Service Civique et donne aussi l’opportunité aux volontaires français de se rendre au Bénin.
« La Journée internationale de la bonne action est un événement assez médiatisé observé dans plus de 109 pays dans le monde au cours duquel les pays mettent la lumière sur une bonne action pratiquée aussi bien par les officiels de gouvernement qu’au sein de leurs populations » a expliqué Tchindro, Monguédé, Président de l’ONG CIRProDeC